apprentie-salope
Le 03/03/2020
J’ai alors commencé les rencontres, je ne sélectionnais que des hommes qui recherchaient du sexe, pas de discussions interminables sur les sentiments et l’avenir.
Mon premier rendez-vous m’a énormément stressée, en effet précédemment mes rencontres se faisaient en boite ou en société, puis la drague, les rendez-vous et enfin, je viens chez toi, on fait l’amour, c’est mignon mais pas rock and roll. Là ce soir je ne connais pas mon partenaire et je vais le rencontrer pour baiser. Je suis en même temps très excitée et tendue, je me fais tous les films possibles. Une copine sait où je suis, on ne sait jamais.
J’ai mis une petite robe rouge avec des dessous, soutien gorge en dentelle et string du même ensemble, chaussures ouvertes à talons, vernis rouge foncé aux pieds et aux mains.
Je sonne, il m’ouvre, je rougis, me présente, moi qui suis fière et sûre de moi d’habitude, là je suis dans mes petits souliers avec cette pointe d’excitation qui ne me quitte pas. Il est pas mal, les photos n’ont pas menti. Il est brun, la quarantaine, athlétique, une bonne base pour un 1er rencard. Il m’invite à rentrer me propose à boire, j’accepte un peu de champagne. Il commence à discuter de tout de rien. En plus de l’excitation, une douce chaleur m’envahit, le champagne ? Je m’enfonce dans son canapé, la discussion m’échauffe de plus en plus, il me demande mes pratiques sexuelles, ce que j’accepte, ce que je ne fais pas, pas facile la 1ere fois de se livrer de façon intime même si je commence à m’exciter sérieusement. Il se rapproche de moi et me pose la main sur la cuisse, j’ouvre mes jambes en signe d’acceptation, de soumission. Rassuré, il continue et m’embrasse a pleine bouche, je sens sa main sur mes seins qui pointent depuis un moment. j’approche ma main de son membre déjà dur, je m’éloigne de lui pour ouvrir son pantalon, sortir sa verge, j’adore matter un sexe d’homme. Il bande très dur, je le caresse, je joue avec ses couilles, enfin ma récompense. Je le décalotte , j’embrasse son gland, je le lèche, putain je vais prendre ça dans ma chatte, je suis trempée d’excitation, je sens mon clitoris en feu. Je le suce en aspirant, impossible de l’avaler complètement, ça promet. Je le masturbe en même temps que je le suce, il mouille abondamment, Je le sors de ma bouche, je ne veux pas qu’il jouisse de suite et pas dans ma bouche. Il commence alors à s’occuper de mon sexe, à me fouiller, ma chatte est trempée, il peut y glisser ses doigts sans résistance, mon clitoris me brûle je sens que je vais jouir. Je l’arrête, me mets nue, je suis folle d’excitation, il commente gentiment, me trouve très belle, enfile un préservatif, mais moi je veux de la baise, je veux du cul, je me lâche de plus en plus, je m’assoie sur lui, je sens son vit m’envahir les entrailles, que c’est bon, je m’accroche à son cou, je donne des coups de rein pendant qu’il tripote mes seins, joue avec mes tétons. Il râle de plaisir, me renverse et me prends en levrette, je sens les spasmes de sa verge, il jouit, je ne sais plus où je suis, je jouis, j’ai déjà joui, j’ai encore envie de jouir. Il se retire, je reste allongée, nue et offerte, je me sens salope, j’adore.
Mon cheminement vers la luxure commence vraiment.
La discussion post coït n’a aucun intérêt, vais-je le revoir ?
Est-ce que je ne cherche pas plus hard, à être plus dominée, Ce principe de baise directe me convient, la découverte de l’autre pendant l’acte est nouveau mais tellement excitant.
Le 15/02/2020
J’ai eu très longtemps des expériences très plan plan. Mon plaisir, je le prenais plus facilement et plus fort seule perdue dans mes fantasmes. J’ai alors commencé à m’intéresser aux BDs, aux romans et aux films pornos. Mes différents partenaires ne m’apportaient le plaisir que j’espérais.
Peu à peu, je me suis rendu compte que certaines situations humiliantes me faisaient rougir de plaisir, je mouillais plus, mon clitoris de plus en plus excité. Je me refusais à accepter cet état de fait, je devais jouir et prendre du plaisir de façon conventionnelle.
Puis la vie a fait qu’un déclic me fasse prendre compte la réalité de mes fantasmes et l’envie de plus en plus forte de les réaliser. Je commence alors à prendre conscience du fait que je sois une salope, une putain, une femme offerte au plaisir des hommes et de femmes, comme si mon plaisir passait après celui de mes partenaires, comme si le plaisir des autres renforçait le mien.
J’ai alors commencé à rencontrer par l’intermédiaire de sites internet. M’exposer et me proposer à la baise de façon impudique m’excitait beaucoup. Les commentaires et les contacts des hommes qui voulaient juste prendre leur pied, s’offrir une salope me convenait. Je prenais mon pied à être considérée comme un sex toy. Ces humiliations étaient source d’excitations terribles.
« Tais-toi et suce » « écarte tes cuisses, ouvre-toi » « reste à 4 pattes et montre tes trous »
Je mouille rien qu’à vous raconter ça …
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Mes débuts
Le 10/02/2020
J’ai très jeune, vers 13 ans, découvert les bienfaits de la masturbation. La découverte de mon corps, de mes réactions face à l’excitation qui venait subitement, n’importe où et n’importe quand. Je m’isolais dans la cave ou le garage chez mes parents pour me caresser en journée et j’en profitais seule, le soir dans ma chambre pour me masturber longuement en découvrant mes tétons, mon sexe, mon anus et mes poils naissant. Je pensais avoir découvert le plaisir sans me douter que ce plaisir serait amplifié tout au long de mon parcours de salope.
J’ai rencontré mon 1er amant vers 16 ans, il en avait 17. Il était autant inexpérimenté que moi et nous passions beaucoup de temps à nous masturber (je refusais tout pénétration, la peur d’être enceinte). J’adorais sentir sa verge circoncise gonfler dans ma main et se mettre à mouiller fort, je le faisais éjaculer loin de mon visage. Je ne l’ai jamais sucé, c’était pour moi dégoûtant. Il me caressait la chatte souvent et n’importe où. J’adorais sentir sa main me toucher le soir sous un porche ou ailleurs, dès qu’il le pouvait il ouvrait mon jean et me caressait la vulve, j’étais rapidement trempée car je mouille énormément. J’ai toujours aimé qu ‘on me fouille le sexe, sentir des doigts me tripoter me pénétrer …
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Introduction
Le 06/02/2020
Je suis blonde, cheveux mi-long avec une frange, j’ai les yeux bleus l’été qui tirent vers le vert en hiver. Je mesure 1m70 pour 54 kgs et j’ai 45 ans. Je suis très féminine. Un peu plus intéressant : je fais du 90 C, mes seins sont assez lourds avec des aréoles larges et de gros tétons qui pointent à l’envi. Mes lèvres dépassent de mon sexe, c’est très visible lorsque je m’accroupis. Mes fesses sont musclées et je suis épilée intégralement.
Voici ma description et je vais vous raconter au fil de ce blog comment je suis devenue une salope au sens noble du terme, c’est-à-dire, libertine, libre et assumant ma sexualité en toute liberté.
Je ne vous parlerai que de sexe et de mes expériences débridées.
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Bjrs beauté
Que de récits croustillants, dont j'aurais envie de vivre de tels instant